Il pleut sur la ville

Un soir alors que mes cours était un peu soporifique et le temps me semblait long, j'ai pondu cette ébauche de... texte.
Merci d'avance du temps que vous allez peut-être consacrer pour le lire et pour essayer de répondre à la question finale.
Sachez que la réponse est déjà écrite et qu'elle vous sera livrée dans quelques jours



"Il pleut sur la ville. Il tombe une pluie noire et froide. Les rues sont vides mais rendues brillantes par le ruissellement ininterrompu des larmes du ciel. Ininterrompu ? Depuis quand est-ce que les nuages s’épandent ainsi sur la métropole ? Des jours ? Des semaines ? Ça a commencé un vendredi soir à l’heure de la sortie des bureaux et ça n’a pas cessé depuis. L’humeur de la ville s’en ressent. Les industries tournent au ralenti. La production est en baisse dans tous les secteurs. Les gens sont tristes, ternes. Comme vidés de leur substance. Ils vaguent à leurs occupations sans entrain.
Seuls les vendeurs de parapluie à la sauvette ont fait leur beurre durant un temps, mais cela n’a pas duré. Au bout de quelques jours, tous les passants avaient acquis leur précieux pépin et les affaires ont cessé d’être florissantes.
Les rues sont vides. Il n’y a presque plus de trafic. Trop d’eau pour la plupart des véhicules. Les égouts sont plein et dégorgent leur trop-plein dans les rues. Seuls les trottoirs sont encore à peu près praticables pour les rares passants encore assez téméraires pour se risquer à l’extérieur. Il pleut sur la ville.

Ce temps convient parfaitement à Terry. Il aime la pluie, il a toujours aimé la pluie. Elle le calme, le protège. Son doux tintement sur les toits masque les bruits occasionnés par ses déplacements. Non qu’il soit particulièrement bruyant chaussé de ses bottes de combat, au contraire, car il a appris à se mouvoir tel un chat, tout en douceur et en silence. Non la pluie couvre simplement les accidents de parcours qui pourrait survenir comme le gondolement d’une tôle ou le bris d’une tuile fragilisée par le temps.
Mais la pluie à d’autres vertus comme celle de masquer son odeur sous cette fragrance de béton mouillé que Terry affectionne tant. Celui rappelle des souvenirs heureux d’une période aujourd’hui révolue.
La pluie enfin lui permet de finaliser son camouflage. Elle complète merveilleusement bien sa pelisse noire et son chapeau à large bord. Seul un œil exercé pourrait apercevoir cette ombre se faufilant rapidement et agilement de toit en toit et se dirigeant vers les quartiers huppés de la cité.
Il pleut sur la ville mais ce temps maussade n’a que peu d’incidence néfaste sur sa profession. Au contraire il aurait plutôt tendance à lui procurer un surcroît de travail. Heureusement pour lui, Terry aime son job. Il le prend très au sérieux et y met beaucoup d’application pense-il en escaladant une échelle de secours.

Sa destination est proche. Il peut déjà apercevoir les lumières de sa cible dans le lointain. Un gros néon rouge clignotant marque sa destination comme un phare dans la brume. L’heure tourne. Terry sait qu’il n’a plus que quinze minutes pour rejoindre sa position et sortir son attirail.
Il presse le pas, prend plus de risque car il sait qu’il n’a pas le droit à l’erreur. Il ne peut pas se permettre de rater son rendez-vous. Il a une réputation à tenir et puis… il faut bien payer les factures.

Quelle est la profession de Terry ?"

Bon au hasard : voleur ou quelque chose du genre. Mais ça parait trop évident tu as certainement trouver un truc plus tordu que ça.

Deuxième essai : Père Noël

je dis: réparateur d'horloges de clocher!

Assassin ou Ramoneur

Pelisse : cape militaire genre chevaliers table ronde, ou actuellemement manteau doublé.
Donc, on dit PELISSE + CHAPEAU A LARGE BORD...

La pluie est son allié, et en plus elle lui donne plus de travail. Il a des habits bien précis. Il n'arrête pas de pleuvoir. Il va vers un gros neon rouge. Il marche sur les toits en direction des quartiers riches. Il n'a que 15 min. pour faire son boulot.

Ca peut pas être assassin, ni ramoneur, ni père nowel.

BON THORGUL C'EST QUOI ?!?!?!!

Voici la suite :

Terry est enfin arrivé. Il se trouve sur le toit de sa cible, juste derrière le néon rouge. Il entre par la porte de service et descend quatre à quatre les marches d’un escalier intérieur. Arrivé au rez de chaussée, il ouvre une porte sur sa gauche et se faufile dans un long corridor désert feutré de rouge. Une dizaine de portes numérotées débouchent dans le couloir. Toutes les deux portes, de grands miroirs dorés ornent les murs.
Terry s’avance jusqu’à la porte marquée du chiffre 7 et fais jouer la poignée. Il se faufile à l’intérieur et referme la porte derrière lui. Il se trouve maintenant dans une petite pièce sans fenêtres, dotée de chaque coté d’un immense placard rempli de vêtement divers.
Une table de maquillage, surplombée par un grand miroir éclairé par une série de lampes sur tout son pourtour, trône au centre de la pièce.
Après s’être rapidement débarrassé de sa pelisse et de ses vêtement trempés, Terry sélectionne dans un placard un uniforme d’officier de marine et se dépêche de l’enfiler.
Deux minutes : Terry ressort de la loge et s’élance dans le corridor. Un brouhaha sourd commence à se faire entendre. Il semble qu’un grand nombre de personnes se trouvent rassemblées à proximité. A son extrémité, le corridor s’ouvre sur la gauche et donne sur une grande scène en parquet laqué, masquée en partie par de grands rideaux rouges.
Une minute : Il est prêt, il connaît son rôle sur le bout des doigts.
En cet instant si proche du dénouement, il ressent enfin un peu de tract, de doute. Sera-il à la hauteur de la tâche ? Parviendra-il à atteindre sa cible ? Son public ?
10 secondes, la musique se fait entendre. SA musique. Il vient se placer au centre de la scène. Une main sur la ceinture et une autre sur sa casquette d’officier. Il est prêt.
Ce soir il leurs mets le feu. Elles vont en avoir pour leur argent. Foi de Terry, gogo dancer.

alala!

Petit coquin!!!

excellent

MOUARF, gogo dancer la bonne blague, bon il peut aussi ramoner apres